jeudi 4 juin 2015

C’est Franois Hollande qui a été élu président de la République

C'est Fran?ois Hollande qui a été élu président de la République. Moi, je suis là pour fixer, pour mettre en oeuvre son projet?, a-t-il ajouté. ?C'est lui qui fixe le cap et c'est moi, avec le gouvernement, qui met en oeuvre ses orientations?. 
 
Interrogé sur sur son ambition pour la <a href="http://www.gttm.biz/"><strong>Sac a main</strong></a> France, Manuel a répondu qu'il souhaitait ?qu'elle réussisse, qu'à la fin du quinquennat de Fran?ois Hollande, les Francais vivent mieux, qu'ils aient de nouveau de l'espoir, de l'espérance?Il y a de la division dans notre pays, du pessimisme, de la morosité. On peut le comprendre, on porte, nous-mêmes Fran?ais, un regard dur sur notre pays. Il y a beaucoup de difficultés, elles sont incontestables et nous sommes là pour les surmonter, mais il y a aussi beaucoup d'atouts. Il est temps de redonner une espérance et c'est ma tache?, a-t-il ajouté. 
 
?Cette énergie, cette ambition, cette volonté d'animer une équipe avec l'expérience qui est la mienne, mais avec aussi -et c'est essentiel pour moi- la confiance du président de la République, je la mets au service d'une seule ambition?: mon pays, la France?, a déclaré le Premier ministre.<strong>tn requin rouge et noir</strong>  Manuel Valls a également rapelé être ?né dans un pays voisin, l'Espagne?. 
 
?C'est merveilleux d'être Fran?ais? 
 
?C'est pour ?a que je suis aussi attaché à l'Europe. J'ai été naturalisé à 20 ans. Mes parents, ma famille m'ont tout appris?, en rendant hommage à ?l'école de la République...?, a-t-il ajouté. ?C'est merveilleux d'être Fran?ais?, s'est-il exclamé. ?On peut être né à l'étranger et parce que vous aimez ce pays, ce qu'il représente, vous le servez aujourd'hui. Aujourd'hui, je le sers à la tête du gouvernement?, a dit Manuel Valls. 
 
?C'est une responsabilité majeure. Je veux servir mon pays, mes compatriotes, pour que demain ils soient davantage fiers de leurs pays, et fiers aussi de leur gouvernement?, a-t-il ajouté. ?Ce sera difficile, mais si demain nous réussissons à mobiliser toutes les forces économiques et sociales <a href="http://www.pascherkk.eu/"><strong>Nike Tn Pas Cher</strong></a>-je rencontrerai bien évidemment les partenaires sociaux-, si nous mobilisons aussi notre majorité, si nous mobilisons tout simplement (...) les Fran?ais, je pense que nous pouvons réussir?, a assuré le Premier ministre. 
 
Il a aussi déclaré que ?toute l'action du gouvernement? devait être tournée vers ceux qui souffrent du ch?mage, évoquant comme moyens le pacte de responsabilité et celui de solidarité. ?Quand vous rencontrez une femme ou un homme qui n'a pas assez pour se payer un steack ou des loisirs, ?a vous prend aux tripes?, a-t-il dit.Toute l'action du gouvernement doit être tournée vers ces hommes, ces femmes qui souffrent, qui ont peur du ch?mage?, a-t-il assuré. ?L'action est au service de l'entreprise, de l'attractivité, de la compétitivité, pour créer cette richesse nécessaire pour libérer les énergies et pour créer <strong>zapatillas nike air rift 2011 originales</strong> de l'emploi?, a-t-il ajouté. Le nombre de ch?meurs a atteint un record fin février à 3,34 millions. 
 
Le pacte de responsabilité mis en avant 
 
Interrogé sur les pistes du gouvernement pour baisser le ch?mage, Manuel Valls a cité le ?pacte de responsabilité?, annoncé par Fran?ois Hollande. ?Nous allons mobiliser 20, plus 10 milliards d'euros, sans doute davantage, pour les entreprises?, a-t-il dit, en ajoutant ?mais aussi pour les salariés?, en référence au pacte de solidarité annoncé lundi soir par le président Fran?ois Hollande. 
 
Le Premier ministre Manuel Valls a également déclaré qu'il n'y avait ?pas d'autres choix? que de ?réduire les déficits publics?, y voyant une ?question de crédibilité? pour la France. ?Réduire les déficits, il n'y a pas d'autres choix, c'est une question de crédibilité pour la France. Notre dette, nous <a href="http://www.tnpascherr.eu/"><strong>Nike TN</strong></a> devons la ma?triser, sinon nous perdons notre souveraineté nationale?, a-t-il estimé, précisant qu'il fallait, ?en même temps?, ?préserver ces services publics qui sont indispensables à la solidarité, à la cohésion de notre pays?.?Lundi, le président Fran?ois Hollande avait donné le sentiment qu'il était prêt à relacher un peu l'effort sur la réduction du déficit, malgré les engagements européens. 
 
Réduire le déficit et aider les entreprises 
 
Le gouvernement de Manuel Valls ?aura aussi à convaincre l'Europe que cette contribution de la France à la compétitivité, à la croissance, doit être prise en compte dans le respect de nos engagements?, avait assuré le chef de l'Etat. La France s'est éloignée en 2013, avec un déficit équivalent à 4,3% de son produit intérieur brut, de ses objectifs européens de réduire le déficit public à moins de 3% d'ici à 2015. Bruxelles a prévenu qu'il veillerait au respect de l'engagement fran?ais. 
 
Quant à la manière de parvenir à réduire les déficits, le Premier ministre a rappelé le pari du pacte de responsabilité pour relancer la croissance. Le gouvernement va ?mobiliser 20, plus 10 milliards, sans doute davantage, pour les entreprises mais aussi pour les salariés?, a-t-il souligné. 
 
?Nous voulons baisser les cotisations des entreprises et nous voulons aussi baisser la fiscalité sur les ménages?, a ajouté Manuel Valls, reconnaissant néanmoins que a n'est pas facile à faire?.Je pense que quand on est de gauche, on ne peut pas accepter cette fiscalité, ces imp?ts qui pèsent sur nos concitoyens?: 60 milliards au cours de ces dernières années, 30 milliards pour la droite, 30 milliards pour la gauche?, a déclaré le Premier ministre. 
 
Le Premier ministre, Manuel Valls, a déclaré mercredi que la mondialisation avait fait des ?dégats considérables? et que le gouvernement devait répondre aux attentes ?des dizaines de milliers de personnes? qu'elle a conduites au ch?mage. ?La crise financière et économique a fait des dégats considérables (...) en jetant des dizaines de milliers de personnes au ch?mage?, a affirmé le Premier ministre, donnant les exemples de régions très touchées comme la Lorraine et le Nord-Pas-de-Calais. 
 
?Nous devons redonner confiance? 
 
?Nous devons répondre à cette attente?, a ajouté Manuel Valls, sur un ton proche de celui de son ministre de l'Economie, Arnaud Montebourg, situé à la gauche du Parti socialiste et qui a fait de la lutte contre la mondialisation sans règles l'un de ses chevaux de bataille. Interrogé sur les difficultés pour les socialistes ont de ?dire ouvertement, sans honte, que le capitalisme crée de la richesse et n'est pas un gros mot?, selon les termes du présentateur Gilles Bouleau, Manuel Valls a répondu?: ?tout le monde l'admet?. 
 
Enfin, l'ancien maire d'Evry s'est prononcé pour ?un véritable contrat avec les parlementaires de la majorité?.Je veux un véritable contrat avec les parlementaires de la majorité. Mais je veux dire aussi à l'opposition qu'elle a des responsabilités, qu'ensemble nous devons répondre non seulement à la crise économique mais également à la crise de confiance que traduit l'abstention massive à l'occasion des élections municipales?, a-t-il déclaré. 
 
Selon lui, c'est ?également une crise d'identité que nous traversons?: beaucoup de Fran?ais se demandent où va la France, quel est son poids dans l'Europe?.Nous devons redonner confiance. C'est la mission que m'a confiée le président de la <a href="http://www.quelqueskkk.com/"><strong>Nike Tn</strong></a> République?, pour ?redonner de l'énergie?, a dit le Premier ministre. 
     

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