Les scientifiques planchent sur les manières de nettoyer l'espace des millions d'éclats Nike Tn Pas Cher d'objets envoyés dans l'espace qui tournent en orbite. Le 10 février 2009, un impact aussi improbable qu'inattendu surprend tous les observateurs de nike air rift kenya l'espace. A 776 kilomètres d'altitude, le satellite commercial américain Iridium 33 percute la carcasse de l'ancien satellite militaire russe Kosmos-2251. Les deux objets près d'une tonne chacun sont pulvérisés sous la force de l'impact et près de 600 débris s'éparpillent dans tous les sens. Si un tel évènement est extrêmement rare, il est aussi le résultat de ce qui se passe au-dessus de nos têtes : l'espace est devenu une énorme décharge. "Ces débris spatiaux, ce sont tous les résidus de l'activité spatiale d'origine humaine" nous explique ainsi Fernand Alby, responsable des activités débris spatiaux et surveillance de l'espace, au CNES, jusqu'en 2014. "On retrouve donc les anciens satellites ou encore les étages de lanceurs devenus inutiles mais aussi des petits morceaux qui se sont détachés par l'usure." Au début de la conquêTn Requinte spatiale, les astronautes n'hésitaient pas à jeter par-dessus bord tous les objets inutiles comme des couvercles ou des ressorts. Résultat, on compte Tn Nike environ 20 000 objets de plus de 10 centimètres en orbite. 500 000 entre 1 et 10 centimètres et des millions de moins d'un centimètre. Surtout, la plupart de ces débris se situent sur les mêmes orbites. La plus fréquentée est l'orbite géostationnaire (36 000 km d'altitude) qui permet aux satellites d'émettre en continu vers la Terre. Revers de la médaille, on compte aujourd'hui plus d'un millier de ces satellites à la même altitude. "Et ce ne sont que les opérationnels" précise Fernand Alby. "Il y en a environ 4000 d'inactifs." L'orbite basse (700 km d'altitude) est, elle aussi, surpeuplée.
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